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Critique de « Avengers : Endgame » par E-Stark
« Salut Madame Potts, si tu trouve cet enregistrement, je ne veux pas que tu ai de la peine. La fin fait partie du voyage. » Robert Downey Jr. – « Avengers : Endgame » d’Anthony et Joe Russo (2019) Alors qu’Infinity War la première partie du troisième Avengers, venait poser de nouveaux enjeux pour les super-héros Marvel, Endgame s’annonçait avec évidence comme le film non pas seulement de tous les records au box-office, mais aussi celui de tous les challenges dans la grande trame du Marvel Cinematic Universe. Autant le dire tout de suite : Endgame est un film obèse. Le long-métrage reprend là où s’arrêtait le précédent tout en reposant d’emblée les lignes qu’il…
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Critique de « Avengers : Infinity War » par E-Stark
Quand j’aurai fini, la moitié de l’humanité existera toujours. Parfaitement équilibrée, comme tout devrait être. Josh Brolin – « Avengers : Infinity War » de Joe et Anthony Russo (2018) Troisième segment réunissant tous les héros du MCU au cinéma, Avengers : Infinity War promettait beaucoup de choses et de surprises. Le film est pourtant assez sage malgré son énorme potentiel sympathie. Je spoile un peu, alors vous voilà prévenu. Le fameux Thanos dont on nous rabâche les oreilles et les pupilles depuis 2012 avec Avengers de Joss Whedon, est enfin là. Un méchant charismatique auquel l’excellent Josh Brolin confère beaucoup de charisme et de puissance. Le bad-guy va mettre à mal…
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Critique de « Thor : Ragnarok » par E-Stark
« Asgard n’est pas un pays, c’est un peuple. » Idris Elba – « Thor : Ragnarok » de Taika Waititi (2017) Taika Waititi est un grand malade ! Voilà comme ça c’est dit, c’est fait. Le dernier segment de Thor est là et s’avère être une bonne surprise. Grâce à une solide réalisation orchestrée par Taika Waititi, que l’on avait pu voir dans le très drôle Vampires en toute intimité réalisé par Jemaine Clement, le dernier né des studios Marvel est une aventure colorée et drôle qui sait aussi se montrer épique et même touchante quand il le faut. Là où le premier volet peinait parfois à captiver, la faute à une écriture…