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Critique de « La Belle et le Clochard » par E-Stark
« Papa a ce tendre respect pour les animaux. Pour lui chaque animal a une personnalité. » Diane Disney Miller, extrait de « Walt et ses chiens », bonus Disney+ pour « La Belle et le Clochard » (1955) Annoncé pour une sortie directement sur la plateforme Disney+, La Belle et le Clochard loin de représenter une énième version live d’un classique Disney, s’avère être une petite surprise rafraîchissante. Alors que le remake live du Roi Lion en 2019 était un immense ratage, La Belle et le Clochard quant à lui remet en avant les films avec des chiens, un genre désuet depuis une quinzaine d’années. Disney a pourtant déjà su par le passé rendre ce type de films attractif…
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Critique de « Annihilation » par E-Stark
« Ça ne détruisait pas, ça créait quelque chose de nouveau. » Natalie Portman – « Annihilation » d’Alex Garland (2018) Marquant en 2015 un petit bond dans le genre du film d’anticipation et de science-fiction avec Ex Machina (bien que ce dernier m’ait déçu), Alex Garland revient en 2018 avec Annihilation, un film ô combien intrigant … Qu’on se le dise d’emblée, Annihilation n’est pas un film facile à aborder. Ne cherchant ni à se faire comprendre ni à nous donner des pistes claires, le scénario peut facilement rebuter. Pourtant il serait terriblement dommage de ne pas se laisser porter par l’oeuvre tant cette dernière regorge de niveaux de lecture. Annihilation nous parle…
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Critique de « Thor : Ragnarok » par E-Stark
« Asgard n’est pas un pays, c’est un peuple. » Idris Elba – « Thor : Ragnarok » de Taika Waititi (2017) Taika Waititi est un grand malade ! Voilà comme ça c’est dit, c’est fait. Le dernier segment de Thor est là et s’avère être une bonne surprise. Grâce à une solide réalisation orchestrée par Taika Waititi, que l’on avait pu voir dans le très drôle Vampires en toute intimité réalisé par Jemaine Clement, le dernier né des studios Marvel est une aventure colorée et drôle qui sait aussi se montrer épique et même touchante quand il le faut. Là où le premier volet peinait parfois à captiver, la faute à une écriture…