-
Critique du film « Une sirène à Paris » par Quentin
La nouvelle fantaisie du prolifique Mathias Malzieu, chanteur du groupe de rock français « Dionysos », était l’une des grandes curiosités de ce début d’année 2020 sur grand écran. Amour impossible entre un « surprisier » et une sirène dans une capitale de carte postale, fantastique prenant vie dans un quotidien qui se ternie alors que les rues prennent l’eau (la narration se situe en 2016 lors de la crue parisienne). On se délectait de découvrir ce conte à mi-chemin entre les plus grands plaisirs de Jean-Pierre Jeunet et la poésie que l’on connaît au musicien. Réussite ou résultat en queue de poisson ? Le réalisateur n’en est pas à son premier essai en terme…